Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Le Retour des hirondelles (En salles le 08/02/2023)
Li Ruijun
« Aussi réussi dans le melo que dans la charge sociale, une chronique forte et profondément émouvante. »
« Quand les ultra-marginalisés de la Chine rurale deviennent des personnages de cinéma hors du commun. Il y aurait malentendu à y voir une romance dans le film. Il s'agit d'un ultime geste d'empathie de l'un envers l'autre, le seul rempart contre la violence du monde. »
Le Promeneur d'oiseau (en salles le 07/05/2014)
Philippe Muyl
Le Pion du Général (en salles le 21/02/2024)
Makbul Mubarak
« Un brûlot politique tout en tension, le genre d'œuvre que l'on espère de moins en moins venant de pays où la censure sur le cinéma est féroce, comme en Indonésie. Brillant. »
Le Passé (Cannes 2013)
Asghar Farhadi
« Personnages énervants pour un scénario bâclé. »
« En passant du farsi au français, Asghar Farhadi perd en subtilité et en force. Son film le plus faible. »
Le Palais d'or (FICA 2018 - Regard sur le cinéma de Mongolie)
Dorjpalam Ravjaa, Gottfried Kolditz
« Le palais d'or ? Nous aussi un peu... »
Le Mystère des Pingouins (en salles le 14/08/2019)
Ishida Hiroyasu
« Très belle fable absurde qui n'a pas peur d'égarer les enfants pour mieux les émouvoir. »
« Bien loin d'un Miyazaki (malgré ce que la promo laisse entendre), Le Mystère des Pingouins réussit à allier le côté kawaii et celui, souvent moins présent dans les longs-métrages animés, déjanté. On ne comprend pas tout mais on adhère ! »
« Un film aussi léger et touchant qu’un amour de fin d’été. Le film se perd parfois à trop vouloir en raconter mais narre avec délicatesse une belle histoire d’amour et d’amitié. »
« Film plaisant pour son côté foufou qui fait assez souvent mouche mais qui demeure un peu trop sirupeux. »
« Un premier long-métrage qui prouve que son jeune réalisateur Ishida Hiroyasu est loin d'être manchot ! »
Le Mal n'existe pas (en salles le 10/04/2024)
Hamaguchi Ryusuke
« Le maître revient et renforce son cinéma très bavard de séquences oniriques silencieuses, portées par la musique. C'est génial. »
« Hamaguchi arrive à un tel épanouissement qu'il atteint le rang des cinéastes-poètes parmi les plus passionnants du moment. À travers cette réflexion sur la ville et la ruralité, il y explore avec inspiration les occurrences fascinantes du "malin". »
« Même si Hamaguchi s'essaie à de nouveaux horizons (humour, action prenant place à la campagne), il conserve son style d'écriture si particulière, bavarde et désarçonnante. Cette fois-ci, nous sortons avec beaucoup de questions sur son intention sans avoir l'assurance que lui-même ne s'en est autant posé. »
« Quelque part entre la farce godardienne et le réalisme tragique tchékovien, Hamaguchi s'amuse à s'égarer et nous égarer par la même occasion. Parfois avec brio, parfois de manière un peu plus fragile. Une chose est sûre, le cinéaste revient à la force formelle énigmatique de Senses, pour le meilleur. »
« Hamaguchi confirme sa singularité dans le paysage cinématographique japonais contemporain, avec ce qui est peut-être son plus beau film. »
Le Lion est mort ce soir (en salles le 03/01/2018)
Suwa Nobuhiro
« Le pendant lumineux (et réussit) de La Mort de Louis XIV. »
Le Lézard noir (L'Etrange Festival 2017)
Fukasaku Kinji
« Mystère, trouble sexuel et visuel tapageur au service d'un mélodrame délicieusement excentrique. »
« Décalé sur le fond et la forme, Le Lézard noir est une superbe adaptation de Rampo. On en redemande ! »
Le Lac aux oies sauvages (en salles le 25/12/2019)
Diao Yinan
« C'est beau, c'est sombre. Plus c'est impressionniste, plus ça fonctionne. Dernier plan magnifique. »
« Nouveau coup de maître pour Diao Yinan avec cette cavale vertigineuse et électrisante. Du putain de cinéma ! »
« Un polar virtuose, coloré et sensoriel. »
« Après un Black Coal sublime mais étrangement trop froid, Diao Yinan transforme l'essai en donnant une âme à cet incroyable thriller. »
« Thriller efficace avec quelques moments de stylisation bienvenus. »
« J'ai le droit de refaire mon TOP 10 2019 ? »
Le Jour d'après (en salles le 07/06/2017)
Hong Sang-soo
« Pour une fois, Hong Sang-soo travaille sa mise en scène et sa photographie. A part ça, ben... c'est toujours la même ritournelle... »
« L'un des plus beaux films de Hong Sang-soo. »
Le jour d'après (Cannes 2017)
Hong Sang-soo
« Voilà qui semble être du très grand Hong Sang-soo ! »
Le Grand Magasin (en salles le 06/12/2023)
Ohshima Satomi
« Film d'animation pour enfants tout mignon tout trognon qui cache en son sein un lore AHURISSANT autour des animaux et des grands magasins. J'ai encore du mal à croire que c'est réel. »
« Un conte de Noël virevoltant et euphorique qui, derrière des atours colorés et un ton léger, cache un fond écologique engagé. »
« Récit naïf qui frise régulièrement le niais. »
Le Garçon et le Héron (en salles le 01/11/2023)
Miyazaki Hayao
« Après avoir dit qu'il faut tenter de vivre, Miyazaki se demande à 83 ans comment faut-il mener sa vie. Sidérant. »
« Tout en s'enfonçant dans les tréfonds de ses origines (à la recherche de la mère disparue et du père créateur), Miyazaki laisse son Art défiler devant nos yeux. Avec un sentiment de vertige dont la puissance poétique, sans conteste, peut être perçue comme un excès nébuleux. »
« Film-somme de sa carrière (même si on l'a déjà dit pour Le Vent se lève), Le Garçon et le Héron embrase tout sur son passage. Poétique à souhait et fourmillant d'idées et de détails, le film se laisse moins facilement appréhender que les autres, ce qui le rend d'autant plus intéressant. »
« Le Miyazaki maitre du merveilleux et rêveur des débuts laisse ici place à un vieil homme sage qui se permet ni plus ni moins qu’une réflexion passionnante sur l’existence et ce que l’on en fait. Moins accessible que ses précédents films mais un pur joyau à revoir pour tout assimiler. »
« Miyazaki se rapproche une fois de plus de l'autofiction et arrive, après l'incroyable Le vent se Lève, un fois de plus à réaliser un coup de maître. Cette fois, résolument tourné vers le futur, les audaces techniques et scénaristiques ne sont au service que d'une question angoissante et existentielle : quel sera son héritage ? »
« Le bouillonnement créatif de Miyazaki déborde de chaque image après sa courte retraite. La suite dira s'il s'agit d'un jalon vers un nouvel horizon ou un film somme testamentaire. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la Bête (en vidéo le 27/05/2016)
Mamoru Hosoda
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma de HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la Bête (en salles le 13/01/2016)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
Le Gangster, le Flic et l'Assassin (en salles le 14/08/2019)
Lee Won-tae
« Affreux, puant, mal foutu, à éviter de toute urgence. »
« Sur la variation de la confrontation" flic chien fou/ gangster super-violent avec un cœur sur fond de meurtres" que le cinéma coréen affectionne particulièrement, on a vu mieux et le film ne révolutionnera pas le genre mais c'est efficace, plutôt jouissif et porté par la belle énergie de ses comédiens, Ma Dong-seok en tête. »
« La thématique classique du polar sur la porosité entre flic et voyou dopé au dynamisme et au savoir-faire coréen, grâce à des acteurs charismatiques et une intrigue rondement menée. »
« On ne tient pas le chef d'oeuvre de la décennie, ni même de l'année. Mais le divertissement reste total, la mise en scène fluide et dynamique et le duo formé par le gangster et le flic fait mouche. »
« Un énième polar qui n’apporte rien au genre, la faute à un script qui n’exploite jamais à fond son concept d’association/compétition de ripoux et une mise en scène trop sage qui se repose trop souvent sur le charisme de son duo d’acteurs. »
« Une copie propre du polar à la sauce coréenne. Quelques moments un peu trop simples, d'autres bien rythmés. »
« Triste exemple de l'appauvrissement esthétique et thématique du cinéma coréen populaire actuel : aucune idée visuelle, une idéologie rance, un recyclage consensuel des pires clichés des films de gangsters... On ne remercie pas la sélection cannoise qui assure au film une sortie en salles plutôt qu'un passage direct en VOD. »
Le Festin chinois (en salles le 21/07/2021)
de Tsui Hark
« Tsui Hark s'éclate à présenter les duels de cuisine tels des combats d'arts martiaux, et nous aussi. Cartoonesque ! »
« On va dire qu'il y a à boire et à manger dans ce Tsui Hark qui reste assez mineur. »
Le diable n’existe pas (en salles le 01/12/2021)
Mohammad Rasoulof
« Rasoulof confronte encore et toujours le système de son pays. Une vibrante réflexion du prix de la résistance et de l'obéissance dans un film aussi engagé qu'humaniste. »
« En quatre facettes, Rasoulof atteint, depuis l'épineuse question morale de la peine de mort, aux tréfonds de la condition humaine pour mettre en lumière ses troubles, avec douceur, violence, beauté et crudité. »
« Plusieurs séquences terrassantes, un plaidoyer pour plus d'humanisme et in fine, plus de démocratie. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Le Retour des hirondelles (En salles le 08/02/2023)
Li Ruijun
« Aussi réussi dans le melo que dans la charge sociale, une chronique forte et profondément émouvante. »
« Quand les ultra-marginalisés de la Chine rurale deviennent des personnages de cinéma hors du commun. Il y aurait malentendu à y voir une romance dans le film. Il s'agit d'un ultime geste d'empathie de l'un envers l'autre, le seul rempart contre la violence du monde. »
Le Promeneur d'oiseau (en salles le 07/05/2014)
Philippe Muyl
Le Pion du Général (en salles le 21/02/2024)
Makbul Mubarak
« Un brûlot politique tout en tension, le genre d'œuvre que l'on espère de moins en moins venant de pays où la censure sur le cinéma est féroce, comme en Indonésie. Brillant. »
Le Passé (Cannes 2013)
Asghar Farhadi
« Personnages énervants pour un scénario bâclé. »
« En passant du farsi au français, Asghar Farhadi perd en subtilité et en force. Son film le plus faible. »
Le Palais d'or (FICA 2018 - Regard sur le cinéma de Mongolie)
Dorjpalam Ravjaa, Gottfried Kolditz
« Le palais d'or ? Nous aussi un peu... »
Le Mystère des Pingouins (en salles le 14/08/2019)
Ishida Hiroyasu
« Très belle fable absurde qui n'a pas peur d'égarer les enfants pour mieux les émouvoir. »
« Bien loin d'un Miyazaki (malgré ce que la promo laisse entendre), Le Mystère des Pingouins réussit à allier le côté kawaii et celui, souvent moins présent dans les longs-métrages animés, déjanté. On ne comprend pas tout mais on adhère ! »
« Un film aussi léger et touchant qu’un amour de fin d’été. Le film se perd parfois à trop vouloir en raconter mais narre avec délicatesse une belle histoire d’amour et d’amitié. »
« Film plaisant pour son côté foufou qui fait assez souvent mouche mais qui demeure un peu trop sirupeux. »
« Un premier long-métrage qui prouve que son jeune réalisateur Ishida Hiroyasu est loin d'être manchot ! »
Le Mal n'existe pas (en salles le 10/04/2024)
Hamaguchi Ryusuke
« Le maître revient et renforce son cinéma très bavard de séquences oniriques silencieuses, portées par la musique. C'est génial. »
« Hamaguchi arrive à un tel épanouissement qu'il atteint le rang des cinéastes-poètes parmi les plus passionnants du moment. À travers cette réflexion sur la ville et la ruralité, il y explore avec inspiration les occurrences fascinantes du "malin". »
« Même si Hamaguchi s'essaie à de nouveaux horizons (humour, action prenant place à la campagne), il conserve son style d'écriture si particulière, bavarde et désarçonnante. Cette fois-ci, nous sortons avec beaucoup de questions sur son intention sans avoir l'assurance que lui-même ne s'en est autant posé. »
« Quelque part entre la farce godardienne et le réalisme tragique tchékovien, Hamaguchi s'amuse à s'égarer et nous égarer par la même occasion. Parfois avec brio, parfois de manière un peu plus fragile. Une chose est sûre, le cinéaste revient à la force formelle énigmatique de Senses, pour le meilleur. »
« Hamaguchi confirme sa singularité dans le paysage cinématographique japonais contemporain, avec ce qui est peut-être son plus beau film. »
Le Lion est mort ce soir (en salles le 03/01/2018)
Suwa Nobuhiro
« Le pendant lumineux (et réussit) de La Mort de Louis XIV. »
Le Lézard noir (L'Etrange Festival 2017)
Fukasaku Kinji
« Mystère, trouble sexuel et visuel tapageur au service d'un mélodrame délicieusement excentrique. »
« Décalé sur le fond et la forme, Le Lézard noir est une superbe adaptation de Rampo. On en redemande ! »
Le Lac aux oies sauvages (en salles le 25/12/2019)
Diao Yinan
« C'est beau, c'est sombre. Plus c'est impressionniste, plus ça fonctionne. Dernier plan magnifique. »
« Nouveau coup de maître pour Diao Yinan avec cette cavale vertigineuse et électrisante. Du putain de cinéma ! »
« Un polar virtuose, coloré et sensoriel. »
« Après un Black Coal sublime mais étrangement trop froid, Diao Yinan transforme l'essai en donnant une âme à cet incroyable thriller. »
« Thriller efficace avec quelques moments de stylisation bienvenus. »
« J'ai le droit de refaire mon TOP 10 2019 ? »
Le Jour d'après (en salles le 07/06/2017)
Hong Sang-soo
« Pour une fois, Hong Sang-soo travaille sa mise en scène et sa photographie. A part ça, ben... c'est toujours la même ritournelle... »
« L'un des plus beaux films de Hong Sang-soo. »
Le jour d'après (Cannes 2017)
Hong Sang-soo
« Voilà qui semble être du très grand Hong Sang-soo ! »
Le Grand Magasin (en salles le 06/12/2023)
Ohshima Satomi
« Film d'animation pour enfants tout mignon tout trognon qui cache en son sein un lore AHURISSANT autour des animaux et des grands magasins. J'ai encore du mal à croire que c'est réel. »
« Un conte de Noël virevoltant et euphorique qui, derrière des atours colorés et un ton léger, cache un fond écologique engagé. »
« Récit naïf qui frise régulièrement le niais. »
Le Garçon et le Héron (en salles le 01/11/2023)
Miyazaki Hayao
« Après avoir dit qu'il faut tenter de vivre, Miyazaki se demande à 83 ans comment faut-il mener sa vie. Sidérant. »
« Tout en s'enfonçant dans les tréfonds de ses origines (à la recherche de la mère disparue et du père créateur), Miyazaki laisse son Art défiler devant nos yeux. Avec un sentiment de vertige dont la puissance poétique, sans conteste, peut être perçue comme un excès nébuleux. »
« Film-somme de sa carrière (même si on l'a déjà dit pour Le Vent se lève), Le Garçon et le Héron embrase tout sur son passage. Poétique à souhait et fourmillant d'idées et de détails, le film se laisse moins facilement appréhender que les autres, ce qui le rend d'autant plus intéressant. »
« Le Miyazaki maitre du merveilleux et rêveur des débuts laisse ici place à un vieil homme sage qui se permet ni plus ni moins qu’une réflexion passionnante sur l’existence et ce que l’on en fait. Moins accessible que ses précédents films mais un pur joyau à revoir pour tout assimiler. »
« Miyazaki se rapproche une fois de plus de l'autofiction et arrive, après l'incroyable Le vent se Lève, un fois de plus à réaliser un coup de maître. Cette fois, résolument tourné vers le futur, les audaces techniques et scénaristiques ne sont au service que d'une question angoissante et existentielle : quel sera son héritage ? »
« Le bouillonnement créatif de Miyazaki déborde de chaque image après sa courte retraite. La suite dira s'il s'agit d'un jalon vers un nouvel horizon ou un film somme testamentaire. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la Bête (en vidéo le 27/05/2016)
Mamoru Hosoda
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma de HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la Bête (en salles le 13/01/2016)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
Le Gangster, le Flic et l'Assassin (en salles le 14/08/2019)
Lee Won-tae
« Affreux, puant, mal foutu, à éviter de toute urgence. »
« Sur la variation de la confrontation" flic chien fou/ gangster super-violent avec un cœur sur fond de meurtres" que le cinéma coréen affectionne particulièrement, on a vu mieux et le film ne révolutionnera pas le genre mais c'est efficace, plutôt jouissif et porté par la belle énergie de ses comédiens, Ma Dong-seok en tête. »
« La thématique classique du polar sur la porosité entre flic et voyou dopé au dynamisme et au savoir-faire coréen, grâce à des acteurs charismatiques et une intrigue rondement menée. »
« On ne tient pas le chef d'oeuvre de la décennie, ni même de l'année. Mais le divertissement reste total, la mise en scène fluide et dynamique et le duo formé par le gangster et le flic fait mouche. »
« Un énième polar qui n’apporte rien au genre, la faute à un script qui n’exploite jamais à fond son concept d’association/compétition de ripoux et une mise en scène trop sage qui se repose trop souvent sur le charisme de son duo d’acteurs. »
« Une copie propre du polar à la sauce coréenne. Quelques moments un peu trop simples, d'autres bien rythmés. »
« Triste exemple de l'appauvrissement esthétique et thématique du cinéma coréen populaire actuel : aucune idée visuelle, une idéologie rance, un recyclage consensuel des pires clichés des films de gangsters... On ne remercie pas la sélection cannoise qui assure au film une sortie en salles plutôt qu'un passage direct en VOD. »
Le Festin chinois (en salles le 21/07/2021)
de Tsui Hark
« Tsui Hark s'éclate à présenter les duels de cuisine tels des combats d'arts martiaux, et nous aussi. Cartoonesque ! »
« On va dire qu'il y a à boire et à manger dans ce Tsui Hark qui reste assez mineur. »
Le diable n’existe pas (en salles le 01/12/2021)
Mohammad Rasoulof
« Rasoulof confronte encore et toujours le système de son pays. Une vibrante réflexion du prix de la résistance et de l'obéissance dans un film aussi engagé qu'humaniste. »
« En quatre facettes, Rasoulof atteint, depuis l'épineuse question morale de la peine de mort, aux tréfonds de la condition humaine pour mettre en lumière ses troubles, avec douceur, violence, beauté et crudité. »
« Plusieurs séquences terrassantes, un plaidoyer pour plus d'humanisme et in fine, plus de démocratie. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Tableau des Etoiles

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Le Retour des hirondelles (En salles le 08/02/2023)
Li Ruijun
« Aussi réussi dans le melo que dans la charge sociale, une chronique forte et profondément émouvante. »
« Quand les ultra-marginalisés de la Chine rurale deviennent des personnages de cinéma hors du commun. Il y aurait malentendu à y voir une romance dans le film. Il s'agit d'un ultime geste d'empathie de l'un envers l'autre, le seul rempart contre la violence du monde. »
Le Promeneur d'oiseau (en salles le 07/05/2014)
Philippe Muyl
Le Pion du Général (en salles le 21/02/2024)
Makbul Mubarak
« Un brûlot politique tout en tension, le genre d'œuvre que l'on espère de moins en moins venant de pays où la censure sur le cinéma est féroce, comme en Indonésie. Brillant. »
Le Passé (Cannes 2013)
Asghar Farhadi
« Personnages énervants pour un scénario bâclé. »
« En passant du farsi au français, Asghar Farhadi perd en subtilité et en force. Son film le plus faible. »
Le Palais d'or (FICA 2018 - Regard sur le cinéma de Mongolie)
Dorjpalam Ravjaa, Gottfried Kolditz
« Le palais d'or ? Nous aussi un peu... »
Le Mystère des Pingouins (en salles le 14/08/2019)
Ishida Hiroyasu
« Très belle fable absurde qui n'a pas peur d'égarer les enfants pour mieux les émouvoir. »
« Bien loin d'un Miyazaki (malgré ce que la promo laisse entendre), Le Mystère des Pingouins réussit à allier le côté kawaii et celui, souvent moins présent dans les longs-métrages animés, déjanté. On ne comprend pas tout mais on adhère ! »
« Un film aussi léger et touchant qu’un amour de fin d’été. Le film se perd parfois à trop vouloir en raconter mais narre avec délicatesse une belle histoire d’amour et d’amitié. »
« Film plaisant pour son côté foufou qui fait assez souvent mouche mais qui demeure un peu trop sirupeux. »
« Un premier long-métrage qui prouve que son jeune réalisateur Ishida Hiroyasu est loin d'être manchot ! »
Le Mal n'existe pas (en salles le 10/04/2024)
Hamaguchi Ryusuke
« Le maître revient et renforce son cinéma très bavard de séquences oniriques silencieuses, portées par la musique. C'est génial. »
« Hamaguchi arrive à un tel épanouissement qu'il atteint le rang des cinéastes-poètes parmi les plus passionnants du moment. À travers cette réflexion sur la ville et la ruralité, il y explore avec inspiration les occurrences fascinantes du "malin". »
« Même si Hamaguchi s'essaie à de nouveaux horizons (humour, action prenant place à la campagne), il conserve son style d'écriture si particulière, bavarde et désarçonnante. Cette fois-ci, nous sortons avec beaucoup de questions sur son intention sans avoir l'assurance que lui-même ne s'en est autant posé. »
« Quelque part entre la farce godardienne et le réalisme tragique tchékovien, Hamaguchi s'amuse à s'égarer et nous égarer par la même occasion. Parfois avec brio, parfois de manière un peu plus fragile. Une chose est sûre, le cinéaste revient à la force formelle énigmatique de Senses, pour le meilleur. »
« Hamaguchi confirme sa singularité dans le paysage cinématographique japonais contemporain, avec ce qui est peut-être son plus beau film. »
Le Lion est mort ce soir (en salles le 03/01/2018)
Suwa Nobuhiro
« Le pendant lumineux (et réussit) de La Mort de Louis XIV. »
Le Lézard noir (L'Etrange Festival 2017)
Fukasaku Kinji
« Mystère, trouble sexuel et visuel tapageur au service d'un mélodrame délicieusement excentrique. »
« Décalé sur le fond et la forme, Le Lézard noir est une superbe adaptation de Rampo. On en redemande ! »
Le Lac aux oies sauvages (en salles le 25/12/2019)
Diao Yinan
« C'est beau, c'est sombre. Plus c'est impressionniste, plus ça fonctionne. Dernier plan magnifique. »
« Nouveau coup de maître pour Diao Yinan avec cette cavale vertigineuse et électrisante. Du putain de cinéma ! »
« Un polar virtuose, coloré et sensoriel. »
« Après un Black Coal sublime mais étrangement trop froid, Diao Yinan transforme l'essai en donnant une âme à cet incroyable thriller. »
« Thriller efficace avec quelques moments de stylisation bienvenus. »
« J'ai le droit de refaire mon TOP 10 2019 ? »
Le Jour d'après (en salles le 07/06/2017)
Hong Sang-soo
« Pour une fois, Hong Sang-soo travaille sa mise en scène et sa photographie. A part ça, ben... c'est toujours la même ritournelle... »
« L'un des plus beaux films de Hong Sang-soo. »
Le jour d'après (Cannes 2017)
Hong Sang-soo
« Voilà qui semble être du très grand Hong Sang-soo ! »
Le Grand Magasin (en salles le 06/12/2023)
Ohshima Satomi
« Film d'animation pour enfants tout mignon tout trognon qui cache en son sein un lore AHURISSANT autour des animaux et des grands magasins. J'ai encore du mal à croire que c'est réel. »
« Un conte de Noël virevoltant et euphorique qui, derrière des atours colorés et un ton léger, cache un fond écologique engagé. »
« Récit naïf qui frise régulièrement le niais. »
Le Garçon et le Héron (en salles le 01/11/2023)
Miyazaki Hayao
« Après avoir dit qu'il faut tenter de vivre, Miyazaki se demande à 83 ans comment faut-il mener sa vie. Sidérant. »
« Tout en s'enfonçant dans les tréfonds de ses origines (à la recherche de la mère disparue et du père créateur), Miyazaki laisse son Art défiler devant nos yeux. Avec un sentiment de vertige dont la puissance poétique, sans conteste, peut être perçue comme un excès nébuleux. »
« Film-somme de sa carrière (même si on l'a déjà dit pour Le Vent se lève), Le Garçon et le Héron embrase tout sur son passage. Poétique à souhait et fourmillant d'idées et de détails, le film se laisse moins facilement appréhender que les autres, ce qui le rend d'autant plus intéressant. »
« Le Miyazaki maitre du merveilleux et rêveur des débuts laisse ici place à un vieil homme sage qui se permet ni plus ni moins qu’une réflexion passionnante sur l’existence et ce que l’on en fait. Moins accessible que ses précédents films mais un pur joyau à revoir pour tout assimiler. »
« Miyazaki se rapproche une fois de plus de l'autofiction et arrive, après l'incroyable Le vent se Lève, un fois de plus à réaliser un coup de maître. Cette fois, résolument tourné vers le futur, les audaces techniques et scénaristiques ne sont au service que d'une question angoissante et existentielle : quel sera son héritage ? »
« Le bouillonnement créatif de Miyazaki déborde de chaque image après sa courte retraite. La suite dira s'il s'agit d'un jalon vers un nouvel horizon ou un film somme testamentaire. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la Bête (en vidéo le 27/05/2016)
Mamoru Hosoda
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma de HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la Bête (en salles le 13/01/2016)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
Le Gangster, le Flic et l'Assassin (en salles le 14/08/2019)
Lee Won-tae
« Affreux, puant, mal foutu, à éviter de toute urgence. »
« Sur la variation de la confrontation" flic chien fou/ gangster super-violent avec un cœur sur fond de meurtres" que le cinéma coréen affectionne particulièrement, on a vu mieux et le film ne révolutionnera pas le genre mais c'est efficace, plutôt jouissif et porté par la belle énergie de ses comédiens, Ma Dong-seok en tête. »
« La thématique classique du polar sur la porosité entre flic et voyou dopé au dynamisme et au savoir-faire coréen, grâce à des acteurs charismatiques et une intrigue rondement menée. »
« On ne tient pas le chef d'oeuvre de la décennie, ni même de l'année. Mais le divertissement reste total, la mise en scène fluide et dynamique et le duo formé par le gangster et le flic fait mouche. »
« Un énième polar qui n’apporte rien au genre, la faute à un script qui n’exploite jamais à fond son concept d’association/compétition de ripoux et une mise en scène trop sage qui se repose trop souvent sur le charisme de son duo d’acteurs. »
« Une copie propre du polar à la sauce coréenne. Quelques moments un peu trop simples, d'autres bien rythmés. »
« Triste exemple de l'appauvrissement esthétique et thématique du cinéma coréen populaire actuel : aucune idée visuelle, une idéologie rance, un recyclage consensuel des pires clichés des films de gangsters... On ne remercie pas la sélection cannoise qui assure au film une sortie en salles plutôt qu'un passage direct en VOD. »
Le Festin chinois (en salles le 21/07/2021)
de Tsui Hark
« Tsui Hark s'éclate à présenter les duels de cuisine tels des combats d'arts martiaux, et nous aussi. Cartoonesque ! »
« On va dire qu'il y a à boire et à manger dans ce Tsui Hark qui reste assez mineur. »
Le diable n’existe pas (en salles le 01/12/2021)
Mohammad Rasoulof
« Rasoulof confronte encore et toujours le système de son pays. Une vibrante réflexion du prix de la résistance et de l'obéissance dans un film aussi engagé qu'humaniste. »
« En quatre facettes, Rasoulof atteint, depuis l'épineuse question morale de la peine de mort, aux tréfonds de la condition humaine pour mettre en lumière ses troubles, avec douceur, violence, beauté et crudité. »
« Plusieurs séquences terrassantes, un plaidoyer pour plus d'humanisme et in fine, plus de démocratie. »
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  • : bon
  • : très bon
  • : excellent
  • : chef-d'Oeuvre

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